Modélisation - Etude d'un robot lézard
Publication :le 25 septembre 2023
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Comme dans tout problème d’ingénierie, l’évolution d’une espèce animale est souvent issue de compromis.
La capacité de ces “systèmes” naturels à être optimisés pour une tâche spécifique est limitée par des contraintes structurelles, historiques ou fonctionnelles.
Les lézards grimpants en sont un bon exemple.
Leur capacité d’escalade nécessite l’optimisation de paramètres conflictuels tels que la vitesse, la stabilité ou l’efficacité.
En s’inspirant de la morphologie d’un lézard, un groupe de chercheurs a conçu un robot, composé d’une colonne vertébrale, d’épaules et de pieds actionnés.
Ces derniers adhèrent à la surface grâce à des griffes. Cette conception a permis aux chercheurs de faire varier indépendamment la vitesse, les angles de pied et la plage de mouvement, tout en collectant simultanément des données sur la distance grimpée, la stabilité et l’efficacité.
La capacité de ces “systèmes” naturels à être optimisés pour une tâche spécifique est limitée par des contraintes structurelles, historiques ou fonctionnelles.
Les lézards grimpants en sont un bon exemple.
Leur capacité d’escalade nécessite l’optimisation de paramètres conflictuels tels que la vitesse, la stabilité ou l’efficacité.
En s’inspirant de la morphologie d’un lézard, un groupe de chercheurs a conçu un robot, composé d’une colonne vertébrale, d’épaules et de pieds actionnés.
Ces derniers adhèrent à la surface grâce à des griffes. Cette conception a permis aux chercheurs de faire varier indépendamment la vitesse, les angles de pied et la plage de mouvement, tout en collectant simultanément des données sur la distance grimpée, la stabilité et l’efficacité.